Dans le monde traditionnel, l’ambiance festive des carnavals s’interrompt soudain le Mercredi des Cendres. Puis vient le Carême, et avec lui le jeûne et l’abstinence. Il n’y a plus d’espace pour la fête, ni pour les expressions de joie. Puis, après une longue trajectoire de quarante jours arrive la festivité de Pâques, et avec elle, le printemps. Et ainsi reviennent les célébrations populaires.
Sous l’angle du calendrier traditionnel, le jalon suivant correspond au solstice d’été. Les fêtes de la Saint-Jean masquent d’autres rites et traditions ancestrales antérieurs à ceux que prescrit l’Église. Mais nous traiterons de cette question dans la prochaine livraison de la collection Urte-sasoiak.